CLAMOR. Centre pour les humanités numériques et l'histoire de la justice

CLAMOR. Centre pour les humanités numériques et l'histoire de la justice is rated 3 out of 5 in the category think tanks. Read and write reviews about CLAMOR. Centre pour les humanités numériques et l'histoire de la justice. Ouvert en 2015, le CLAMOR est un centre de services et de recherche créé par le CNRS et le ministère de la Justice en partenariat avec les Archives nationales de France. Premier centre d’humanités numériques dédié à l’histoire de la justice en France, le CLAMOR mobilise différents outils pour l’édition, la publication scientifique et la valorisation des données produites. Il en garantit le libre accès et la pérennité en s’appuyant sur des services déployés par des structures nationales, la Très Grande Infrastructure de Recherche Huma-Num et le Centre pour l’Édition Électronique Ouverte. Ces données numériques sont mises à disposition sur la plateforme Criminocorpus composée d’un site portail (http://criminocorpus.org), d’une revue (http://criminocorpus.revues.org) et d’un carnet d’informations (http://criminocorpus.hypotheses.org). Le CLAMOR coordonne dans ce cadre la réalisation d’un musée virtuel d’histoire de la justice en proposant des expositions, des collections documentaires et des visites de lieux de justice. Il assure la maintenance et le développement du portail Criminocorpus et la pérennité de ses services et plus largement de toute production relevant du patrimoine scientifique ou judiciaire présentant un intérêt pour la connaissance de l’histoire de la justice. Le CLAMOR est en capacité d’accueillir sur projet des stagiaires, des étudiants, des doctorants, des postdoctorants ou des chercheurs à titre temporaire. Il constitue un partenaire potentiel pour toute formation d’enseignement supérieur ou professionnelle impliquant les humanités numériques et l’histoire de la justice. Le CLAMOR opère ces missions en lien avec les Archives nationales, la direction de l’administration pénitentiaire, l’École nationale d’administration pénitentiaire, la Bibliothèque des littératures policières, et toute autre institution susceptible d’agir en partenariat.